Tout simplement
Aldebert
Hey, woh-oh-oh Hey, woh-oh-oh Quand les chimères nous escortent Que les ombres toquent à la porte C'est toi qui réconforte Quand l'euphorie monte sur scène Que les fous rires se déchaînent C'est toi qui nous entraîne Quand se déclinent les idées noires Dans le spleen des dimanches soir C'est toi qui nous répare Quand l'insouciance joue du trombone Les imprudences se collectionnent C'est toi qui nous pardonne Une drôle de lumière nous entoure Cette drôle de matière, c'est de l'amour Maman, cette chanson n'est pas un roman Mais tes garçons ont trouvé comment te remercier tout simplement Maman, cet unisson, c'est le bon moment La bonne occasion, évidemment, pour te chanter nos sentiments Hey, woh-oh-oh Hey, woh-oh-oh Quand les premières fois de l'enfance Nous font redoubler de méfiance C'est toi qui nous devance Quand on ne voit que les fissures Que l'on ressasse nos blessures C'est toi qui nous rassure Une drôle de lumière nous entoure Cette drôle de matière, c'est de l'amour Maman, cette chanson n'est pas un roman Mais tes garçons ont trouvé comment te remercier tout simplement Maman, cet unisson, c'est le bon moment La bonne occasion, évidemment, pour te chanter nos sentiments Dans l'ouragan de nos vies fugaces Sur le toboggan du temps qui passe Tu restes la flamme et notre abri Tu restes la femme de notre vie Maman, cette chanson n'est pas un roman Mais tes garçons ont trouvé comment te remercier tout simplement Maman, cet unisson, c'est le bon moment La bonne occasion, évidemment, pour te chanter nos sentiments Hey, woh-oh-oh Hey, woh-oh-oh Hey, woh-oh-oh Hey, woh-oh-oh