Tête en l'air

Aldebert

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Intro : A l'âge de raison Dans mes tennis à velcro Je découvre le monde Les genoux mercurochromes   En secret je dévore J'épie les paires de cuisses Je découvre le corps Des filles dans les Trois Suisses Tête en l'air à tour de bras Je me fiche de savoir Combien font sept et trois Mais où est Ornicar ? Je préfère au tableau vert La fenêtre du Vélux Où des monstres imaginaires Se dessinent dans les cumulus Sur ma planète, c'est c'ui qui dit qui y est     J'ai dans la tête une mélodie qui fait... Dans ma chambre dès qu'il fait lune Je scrute le plafond Que les phares des voitures allument En passant devant la maison Quel genre de Dracula Se cache encore sous mon lit Je remonte les draps jusque là En rentrant les chevilles Refrain J'ai acheté la protection De mon copain Michelet Il est fort comme un r'doublant Je le paie en pain au lait Toute la terre me ment et me prend Pour plus petit que je ne suis Le Père Noël c'est mes parents La p'tite souris aussi Refrain Je tape ma crise Je fais des manières Pour éviter l'église Pour faire la messe buissonnière Car l'homme qui parle à Dieu Déclare à l'assemblée : Quand on est heureux On finit parle payer !

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La chanson évoque les pensées d'un jeune enfant qui découvre le monde avec curiosité et innocence. Il navigue entre ses rêves et la réalité, s'interrogeant sur des choses simples de la vie, tout en s'émerveillant devant les mystères qui l'entourent. À travers des réflexions sur l'école et les croyances enfantines comme le Père Noël et la petite souris, il exprime une certaine désillusion face à la vérité des adultes. Le ton est léger et amusé, soulignant les petites rébellions d'un enfant qui préfère jouer et imaginer plutôt que de suivre les règles établies. Dans ce voyage à travers l'enfance, on ressent une nostalgie pour ces moments de pure fantaisie, où les préoccupations sont minimes et où la joie se trouve dans les petites choses. C'est une célébration de l'imaginaire et de la beauté de grandir tout en se questionnant sur le monde.