Les deux ogres

Aldebert

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Nous avons adoptés depuis quelques jours Ma famille et moi deux orgres poilus Le premier s’appelle Tsunami *Salut!* Et le second son p’tit nom c’est Typhon *Salut!*  (en barré sur toute la suite) Les gens disent que je mange des enfants Que j’ai des cornes pour éventrer les brebis Mais mon truc à moi c’est la mousse au chocolat blanc Et jouer au 1000 bornes avec ma Mamieau lit... Les gens disent que je suis très violent Ques j’ai des oisillons morts entre les crocs Alors que je collectionne les bons sentiments Que ma plus grande passion c’est le brico... C’est trop beau... Quand on ne connait pas On raconte n’importe quoi Les "on dit" et les "quand quand"  Rendent les gentils méchant... Les gens disent que je me lave au purain *Ah c’est toi qui? aaaa...* Que je bois du rhum à la bave de serpent *eaaaa...* Mais je passe des heures à la salle de bain  Je tombe dans les pommes à la vu du sang... Nan vraiment... Les gens que ma maison est hantée Que j’ai des milliers de blates au fond de mon lit... La nuit... Alors que je regarde Bambi en DVD En faisant des petites nattes à mes poupées Barbie... C’est mimi... Quand on ne connait pas On raconte n’importe quoi Les "on dit" et les "quand quand"  Rendent les gentils méchant... Quand on ne connait pas      On raconte n’importe quoi Les "on dit" et les "quand quand" Rendent les gentils méchant... Quand je souris à pleine dents  En voulant faire des bisous Les gens se sauvent en courrant Prenant les jambes à leur cou... Si j’ai à leurs intentions  Des cadeaux pour faire connaissance Ils pensent que c’est du poison Et se débinent dans tous les sens... Quand on ne connait pas On raconte n’importe quoi Les "on dit" et les "quand quand"  Rendent les gentils méchant...  *Allez les orgres* Quand on ne connait pas  On raconte n’importe quoi Les "on dit" et les "quand quand" Rendent les gentils méchant...  *encore*  Bon Tsunami  *Quand on ne connait pas*  Les orgres on se dépèche  *On raconte n’importe quoi*  A table déposés les jouets  *Les "on dit" et les "quand quand"*  Allez vous lavez les mains papa fait des gauffres...  *Rendent les gentils méchant...*  Et papa papa papa je peux mettre mon habit de fête?  *Quand on ne connait pas*  Ben sa tu peux mais sa ne va pas changer grand chose  *On raconte n’importe quoi*  Et et moi je peux faire des petites nattes?  *Les "on dit" et les "quand quand"*  Ecoute sa s’est pas possbile j’ai pas assez de cheveux pour sa...  *Rendent les gentils méchant...*  Allez on se dépèche sa va refroidir  Bon appetit les orgres  Mmmmmmmhhh...  Oui nan sa c’est ma main...  Tsunami ! Nan nan... Tu laches ma main...  C’est le goûter qu’on mange c’est pas moi...  Ca c’est ma jambe... Typhon ! C’est ma jambe !!!  Stop ! Stop ! Aille ! Aille ! Sa pique quand même...  J’ai des traces de dents dans mon bras !

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Dans cette chanson, le narrateur évoque de manière humoristique la vie quotidienne avec ses deux ogres, Tsunami et Typhon, qu'il a récemment adoptés. Malgré les idées reçues et les stéréotypes effrayants qui entourent ces créatures, il montre que leur réalité est bien différente : les ogres ne sont pas du tout ce qu'on imagine. Au lieu de manger des enfants ou de terroriser la population, ils aiment la mousse au chocolat blanc et passent leur temps à jouer, à bricoler, et même à regarder des films doux comme Bambi. Le contexte de la chanson tourne autour des préjugés et des jugements hâtifs que l'on peut porter sur les autres, notamment les apparences trompeuses. Elle met en lumière comment les "on dit" peuvent déformer la vérité et transformer de gentils personnages en figures monstrueuses aux yeux de ceux qui ne les connaissent pas. C'est une belle manière de rappeler l'importance de ne pas se fier aux premières impressions et d'aller au-delà des apparences.