La Light De Borgot

Albert Babin

Ce chant est à 4 accords magiques! Il est montré ici dans la transposition originale: en le jouant avec des capo ou en le transposant, vous pouvez le ramener à Am, F, C, G.

Transposer:

[Couplet 1] Pas loin de chez nous presqu’entre ciel et terre Je regarde la mer que quasiment désert Le goéland est caché pour passer l’hiver D’un tapis de neige blanche les îles sont recouvertes [Refrain] Je partions pour la ville je reviens back sur mes pas Les îles de la madeleine paradis d’artisanat Les Lapierre les Boudreau Emile a Paul Bourgeois Zeux y seront sur le quai quand je retournerai là-bas [Couplet 2] La light du Borgot qui dirige les bateaux Ceux des madelinots qui vont pêcher le maquereau Le homard pis l’hareng attendent impatiemment Y dansent en de sous des glaces y savent que ce pas le temps [Refrain] Je partions pour la ville je reviens back sur mes pas Les îles de la madeleine paradis d’artisanat Les Lapierre les Boudreau Emile a Paul Bourgeois Zeux y seront sur le quai quand je retournerai là-bas [Couplet 3] Le printemps arriver on est tous énerver Le bateau est parti direction souris L’archet arcansson ner la guitare est dans le coin Joue-moi un morceau Félix comme le faisait Aurelien [Refrain] Je partions pour la ville je reviens back sur mes pas Les îles de la madeleine paradis d’artisanat Les Lapierre les Boudreau Emile a Paul Bourgeois Zeux y seront sur le quai quand je retournerai là-bas

Du même artiste :

empty heart empty heart E, B, A, Dbm
empty heart empty heart G, D, C, D7
empty heart empty heart E, B7, A
empty heart empty heart D, D4, A, A4, D2, A2, D7, G, G#
empty heart empty heart C, G7, G, C2, F, C7
Cette chanson évoque le paysage des îles de la Madeleine, entre mer et terre, alors que l'hiver recouvre les lieux d'un manteau de neige. L'artiste se remémore son retour vers ces îles, un véritable havre d'artisanat, et parle des habitants, comme les Lapierre et Boudreau, qui l'attendent sur le quai. Il met aussi en lumière la lumière du phare du Borgot, qui guide les pêcheurs vers les eaux riches, même lorsque les poissons ne sont pas encore prêts à mordre. Le texte dépeint aussi l’impatience du retour du printemps, lorsque la vie reprendra son cours normal, et l'envie de renouer avec la musique et la culture locale. C'est une belle ode à l’attachement aux racines et à la nature.