Sur un trapèze
Alain Bashung
| N.C. | | | | | | On dirait qu'on sait lire sur les lèvres Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze On dirait que sans les poings on est toujours aussi balèzes Et que les fenêtres nous apaisent | | | | | On dirait que l'on soufflerait sur les braises On dirait que les pirates nous assiègent Et que notre amour, c'est le trésor On dirait qu'on serait toujours d'accord | | | | | J'ai traqué les toujours, déssossé les déesses Goûté aux alentours, souvent changé d'adresse Ce qui nous entoure, l'extension de nos corps Quand nous sommes un écart mineur, chercheur d'or | | || | || | Quand faut-il être pour ? Que faut-il être encore ? Quand faut-il être pour ? Que faut-il être encore ? On dirait qu'on sait lire sur les lèvres Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze On dirait que sans les poings on est toujours aussi balèzes Et que les fenêtres nous apaisent | | | | | Peut-être que la nuit, le monde fait la trêve Et qu'aujourd'hui, ton sourire fait grève On dirait qu'on sait lire sur les lèvres Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze | | | | | (x2) Peut-être que la nuit, le monde fait la trêve Et qu'aujourd'hui, ton sourire fait grève On dirait qu'on sait lire sur les lèvres Et que l'on tient tous les deux sur un trapèze