Les arcanes

Alain Bashung

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Intro :            Revenez des arcanes   J'ai ouvert les écluses   Pour une fin en fanfare   Pas un mot qui ne soit nu   Tu maquilles nos histoires   De fumées clandestine   Nos secrets les plus noirs   Rêvés en catimini   Mais tout est là Et j'ignore d'avoir perdu du secret Oui tout est là Rien n'est caché     Tu m'inventes des tunnels   Des passages dérobés   Des confidents virtuels   Des délits supposés    Mais tout est là Et j'ignore d'avoir perdu du secret Oui tout est là Rien n'est caché   Rien n'est caché Oh rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché Rien n'est caché

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La chanson évoque un voyage à travers des secrets enfouis et des histoires cachées. L'artiste semble tirer les fils d'une réalité complexe, où les vérités se mêlent aux illusions. Il parle de la construction d'une réalité alternative, pleine de passages dissimulés, où les confidences et les mensonges s'entrelacent, entraînant une quête d'authenticité. Dans ce monde, tout est exposé, et pourtant, il reste un sentiment de mystère, comme si certaines choses demeuraient inaccessibles malgré ce qui est mis à jour. La répétition d'un refrain souligne cette idée que rien n'est véritablement caché, invitant à réfléchir sur la transparence et la perception des événements.