Wont You Call Me

Agnes Obel

Transposer:

[Intro] [Verse 1]   Lay down where the air stands still   Where the moonlight fills up your eyes   I stay there in the low   No I don’t even know   What is on your mind [Chorus] Won’t you call won’t you call me? When the seconds are dancing For the sake of my sanity [Post-Chorus] In the night   Growing blind                 x2 [Verse 2] No one knows what the devil did What disguises hid from our eyes So don’t burn your fire for their sake Miracles of fate got no enemy but time [Chorus] Won’t you call won’t you call me? When the seconds are laughing For the sake of my sanity [Post-Chorus] In the night   Unwinding time                 x2 [Outro] Dm  G  x20

Du même artiste :

empty heart empty heart Dm, F, G, C, B, Am, D
empty heart empty heart Am, E, F, G, C, Fm
empty heart empty heart F#, Ebm, Fm, Bbm, Db, G#, B, G#m, G
empty heart empty heart Fm, G#, Cm, Bb
empty heart empty heart F, Am, E, Db, Fm, C
empty heart empty heart G, A, E, D, F#m, Em, Bm
empty heart empty heart Am, Am7, D, C, Dm, F, A
empty heart empty heart Am, C, G, Em, D, F
empty heart empty heart Bm, F#, E, D, A, Db, F#7, Bb, G#
empty heart empty heart Bm, E, G, Em
La chanson évoque une profondeur d'émotions et un désir de connexion dans un monde où le temps semble suspendu. Elle parle de l'attente de l'autre, de cette nécessité d'être rejoint au milieu de l'incertitude, où l'on navigue entre le passé et le présent, cherchant un peu de clarté. Les images de la nuit et des mystères qui l'accompagnent soulignent le sentiment de solitude et d'incertitude face aux épreuves de la vie. Le contexte est celui d'une quête intérieure, où les doutes et les réflexions s'entremêlent. L'artiste s'exprime dans un cadre où l'on explore les liens humains, la mélancolie, et peut-être même une touche de magie que le temps peut apporter ou emporter. C'est une balade introspective qui résonne avec les luttes de chacun.