Les lignes

Florent Vintrigner

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Veux-tu que je te lise Les lignes de la main ? Aimes-tu les surprises Ça commence à la porte de pantin Juste là devant l'église Juste là où tous les matins Dans une brasserie toute grise Toi tu lis le Parisien Veux-tu que je te dise Que demain et après-demain Nous ferons nos valises Pour les mêmes chemins Marie ! Oh Marie-Madeleine Veux-tu prendre la vie comme elle vient Et moi avec, oh ma belle parisienne Et moi avec, si tu veux bien Si tu veux-tu, la suite de mon poème Si tu veux-tu, tu verras bien Dans ta paume où je t'aime Je rajouterai mine de rien Mon téléphone oh my love please Ton destin Et mon destin Sont comme cul et chemise N'entends-tu pas venir au loin Le grand voile que chantent les sirènes Vogue sur les lignes de ta main Le grand voile qui claque dans tes veines Qui claque la porte de pantin Le grand voile que chantent les sirènes Vogue sur les lignes de ta main Le grand voile qui claque dans tes veines Qui claque la porte de pantin

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D#m, C#, G#m
La chanson évoque un dialogue intime entre deux personnes, où l'un propose de lire les lignes de la main de l'autre, symbole d'un partage et d'une découverte mutuelle. Cela se déroule dans un cadre très parisien, près d'une brasserie et d'une église, marquant une réalité quotidienne tout en laissant entrevoir un voyage commun à venir. L'artiste évoque également une connexion profonde et inextricable entre leurs vies, suggérant que leurs destins sont liés, comme de vieux amis inséparables. Les références à Marie-Madeleine ajoutent une dimension spirituelle, suggérant une acceptation de la vie telle qu'elle se présente, avec ses surprises et ses routes à tracer ensemble. C'est une invitation à vivre pleinement chaque moment, tout en évoquant des aspirations et des rêves partagés.