Bye Bye

Fixpen Sill

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Fonce dans les virages d'une route en Espagne, profite de c'qui tombe du ciel sans merci Demain, j'me retrouve la tête dans l'airbag, foudroyé à pleine vitesse comme James Dean Z'yeux à demi-ouverts, j'vois l'horizon qui taille J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye", eh La vie : un casino, laisse tomber l'masque, impossible de dire comment ça s'termine J'retiens pas mon souffle, ils peuvent compter l'cash, j'ai mon carré d'as, mes Gs, ma médecine Z'yeux à demi-ouverts, j'vois l'horizon qui taille J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye, bye" Seul avec les étoiles, j'ai enfin ouvert le portail, bye Ma cousin, tire encore sur le feu d'artifice, j'ai la boca qui baille Tout est beau, tout est pailleté, oh-oh, oh J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye" Pleinement absorbé par la scène, j'ai plus les détails Y en avait tellement, sur l'qui-vive, la passion nous divise Jusqu'à l'enterrement, code 1-8-7 sur les rumeurs J'sais très bien comment fonctionne l'être humain, ça finit par déteindre sur mes humeurs, j'aime pas les commères, j'aime pas les suceurs Parler pudeur avec vous, c'est juste impensable, ce s'rait un job à temps plein, vie désarticulée comme un pantin En dérive sur mon hémisphère, toutes les nuits, je tourne en rond comme les aiguilles de Big Ben (Big Ben) Sur l'trajet qui mène à ma rescousse, coffre gé-char mais j'ai pas pris la clé d'douze Tous les souv'nirs sont comme évaporés, incertitude qui reste à gommer, j'danse autour du paratonnerre, ah yeah Fonce dans les virages d'une route en Espagne, profite de c'qui tombe du ciel sans merci Demain, j'me retrouve la tête dans l'airbag, foudroyé à pleine vitesse comme James Dean Z'yeux à demi-ouverts, j'vois l'horizon qui taille J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye" Dit bye, dit bye, dit bye... Un reste de mushroom dans les molaires, mes yeux s'referment comme une clé à molette, oh J'aime pas trop les Hommes, surtout ceux qui donnent les ordres, on s'entend comme les orties et les mollets Encore un mot et je ferme les volets, oh God C'est grave, plus je monte les paliers, plus mon coeur me dit : "bonne chance" Grave, le soleil est si beau, j'vais me bruler en m'approchant Oh god, mes cauchemars sont maintenant devenus vos rêves Je vous remplacerais bien par une forêt, rien de méchant Fonce dans les virages d'une route en Espagne, profite de c'qui tombe du ciel sans merci Demain, j'me retrouve la tête dans l'airbag, foudroyé à pleine vitesse comme James Dean Z'yeux à demi-ouverts, j'vois l'horizon qui taille J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye" La vie : un casino, laisse tomber l'masque, impossible de dire comment ça s'termine J'retiens pas mon souffle, ils peuvent compter l'cash, j'ai mon carré d'as, mes Gs, ma médecine Z'yeux à demi-ouverts, j'vois l'horizon qui taille J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye, bye" Seul avec les étoiles, j'ai enfin ouvert le portail, bye Ma cousin, tire encore sur le feu d'artifice, j'ai la boca qui baille Tout est beau, tout est pailleté, oh-oh, oh J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye" Seul avec les étoiles, j'ai enfin ouvert le portail, bye Ma cousin, tire encore sur le feu d'artifice, j'ai la boca qui baille Tout est beau, tout est pailleté, oh-oh, oh J'reste en position : le corps figé, la tête qui dit : "Bye"

La chanson évoque une vie pleine de vitesse et d'intensité, où l'on navigue à travers les hauts et les bas comme dans un casino. Le protagoniste se projette vers un avenir incertain, conscient des dangers qui l’entourent, tout en appréciant les moments de beauté et de joie. Dans un paysage astral, il évoque une forme de solitude, tout en faisant face à des souvenirs fugaces et à des émotions contradictoires. Le contexte de la chanson semble puiser dans une ambiance de vie nocturne, où la liberté et l'évasion côtoient les réalités plus sombres et les conflits intérieurs. L'image d'un voyage sur une route espagnole symbolise cette quête d'appréciation de l'instant présent, même au milieu des turbulences. Le contraste entre la vitesse, le danger et les moments de contemplation crée une atmosphère unique qui se dégage des paroles.