Louvain La Neuve

Edouard Priem

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(x3) Partout dans Louvain des soirées, des virées, des concerts et surtout des guindailles Je chantais et fêtais toute la nuit, partout, où que j'aille Y'avait les p'tits bleus qu'on achetait à coups de Barbãr Des Poils calottés s'amusaient à leur faire des histoires Alors ils buvaient tous à-fond Et puis, "Gueule en terre, bleu !" C'est la tradition Louvain-la-Neuve Tu ne dors jamais la nuit Tu me fais chanter Sans m'arrêter On fête toute l'année Parfois on pleure en juin Mais non jamais, jamais je ne t'oublierai C'était la CASA, le CESEC, le CIEE Le Festival de la Chanson Mais je pigeais que dalle à toutes ces abréviations Beurré dans la rue je pissais sur un mur, c'est génial Mais tout le monde me disait qu'ici tout ça est normal J'ai dit que c'était marrant Et tout à coup J'étais dans le vent Louvain-la-Neuve Tu ne dors jamais la nuit Tu me fais chanter Sans m'arrêter On fête toute l'année Parfois on pleure en juin Mais non jamais, jamais je ne t'oublierai (x4) Mais non jamais, jamais je ne t'oublierai

La chanson évoque la vie festive et énergique de Louvain-la-Neuve, un endroit où les soirées battent leur plein et où chaque instant est une occasion de célébrer. L’artiste se remémore des moments joyeux passés entre amis, entre concerts, traditions et rituels de la vie étudiante, comme la fameuse "guindailles". Dans cette ambiance joyeuse, même les mésaventures et les pleurs de juin font partie du charme de ce lieu unique, soulignant l’attachement indéfectible qu’il ressent pour cette ville. Louvain-la-Neuve est ainsi présentée comme un endroit où le temps semble s'arrêter dans une fête perpétuelle, un lieu imprégné de souvenirs inoubliables.