Manhattan monotone

Diane Tell

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Intro : (2x) Les dingues des buildings déambulent, les taxis ont la jaunisse       Les néons, les pubs majuscules, New York existe            C'est trop grand pour moi qu'est-ce que je fais-là dans cette ville dessinée       Peter Stuyvesant si tu voyais ta pomme bien aimée            Je l'ai croquée c'est bizarre le goût qu'elle a la star          Manhattan monotone j'suis en panne comme une pomme On m'disait que t'avait tout dans ta rondeur y'a des trous Manhattan monotone je suis Diane pas Lennon Il t'appelait centre du monde t'as pris la tête Manhattan                Ton p'tit billet vert et tes gadgets les maisons qui grattent le ciel     Harlem ton village et ses poètes ça donne des ailes           Tu fais couler beaucoup d'encre graffiti pour les cancres Hold on Manhattan monotone j'suis en panne comme une pomme On m'disait que t'avait tout dans ta rondeur y'a des trous Manhattan monotone je suis Diane pas Lennon Il t'appelait centre du monde t'as pris la tête Manhattan                Pourtant tu as le son et ça c'est vraiment bon Et le vent dans le béton qui vient de l'océan, souvent,souvent Manhattan monotone j'suis en panne et ça m'étonne On m'disait que t'avait tout dans ta rondeur y'a des trous Manhattan monotone je suis Diane pas Lennon Il t'appelait centre du monde t'as pris la tête Manhattan.         

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C, C/B, C7/Bb, F/A, Gm7, Cm, Ebmaj7, Ab, Dm, Em, Am, G, Fm, Bb7, Abmaj7, Ab/F, G4/Ab, E9/B, E7, Gm6, Gm6/C, F, Bb, G4, Eb, G9/D, G7, Bbm6, Bbm6/Eb, Ebm, Db, F#maj7, Bmaj7, Bb4
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Fm7, Cm7, Ebm, Dbmaj7, Db6, B7, Bbm7, Eb7, Abmaj7, Ab6, Amaj7, G#m7, C#m7, F#m, A6/B, Emaj7, Ebmaj7, Dmaj7, D#m7, F#m7, E6, F#7, Bmaj7
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C, Fmaj7, Em, G7, Am, G
La chanson évoque l'expérience d'une personne qui se sent perdue et désemparée dans la grandeur écrasante de New York, où les buildings et les taxis semblent dominants et oppressants. L'artiste exprime une certaine nostalgie et une quête d'identité, se comparant à d'autres figures emblématiques, tout en ressentant un décalage face à la vie trépidante de la ville. Il évoque aussi la beauté cachée, les artistes et la culture, contrastant avec un sentiment de vide et d'ennui. Le contexte de cette chanson se situe dans les années 1980, période marquée par une exploration de la vie urbaine et des réalités psychologiques liées à la modernité. L'ambiance de Manhattan, avec son mélange de dynamisme et de solitude, représente un microcosme des luttes personnelles de l'artiste.