Encore

David Giguère

Transposer:

Intro : (x2)   Elle est née entre l'été et l'automne     Prison-demeure, c'est des amours-téléphone      Et puis elle joue et puis m'déjoue et à son jeu j'ai tout perdu       Mais moi, je m'en fou, car sous sa robe se cache une issue       Alors je prendrai mon temps, encore du temps   J'regarderai dehors voir si ça s' peut encore Encore           Encore             Passer sa vie à se courber l'dos dans les jardins de nos ébats      Il y'a un secret, en fait le tien, auquel tu tiens bien plus que moi        Et tes amants, qui par milliers, viennent déterrer c'que j'ai trouvé      Aller creuser, aller crever dans les sentiers de sa beauté     Alors je prendrai mon temps, encore du temps   J'regarderai dehors voir si ça s' peut encore (x2) Finale : (x4)

Du même artiste :

empty heart empty heart Bb, F, C, Dm
La chanson évoque une relation complexe où l'amour semble à la fois captivant et destructeur. Le narrateur semble piégé dans un jeu romantique où il ressent qu'il a tout perdu, malgré la beauté et l'attrait de celle qu'il aime. Il parle de prendre son temps, de continuer à observer les événements autour de lui, cherchant un moyen de faire face à cette situation. L'idée de secrets et de rivalités amoureuses plane sur la chanson, montrant que l'attachement de l’autre pourrait être plus intense qu'il ne le pense. Le contexte de cette oeuvre pourrait être celui d'une époque où les relations sont souvent marquées par la superficialité, avec des interactions qui se passent à distance, comme à travers des appels ou des échanges numériques, soulignant une nostalgie pour des connexions plus profondes et authentiques. Les jardins évoqués symbolisent peut-être les souvenirs des moments passés et des ébats, tout en reflétant la lutte intérieure du narrateur entre désir et désillusion.