Ai, Mouraria

Amália Rodrigues

Transposer:

Ai Mouraria   da velha Rua da Palma   onde eu um dia   deixei presa a minha alma   por ter passado mesmo ao meu lado   certo fadista   de cor morena boca pequena   e olhar trocista.   Ai Mouraria do homem do meu encanto   que me mentia   mas que eu adorava tanto. Amor que o vento como um lamento   levou consigo   mais que ainda agora    e a toda a hora   trago comigo.   Ai Mouraria   dos rouxinóis nos beirais   dos vestidos cor-de-rosa   dos pregões tradicionais.   Ai Mouraria   das procissões a passar   da Severa em voz saudosa   da guitarra a soluçar.

Du même artiste :

empty heart empty heart E, F#m6, Db7, F#m, F#7, B7, Eb7, G#7
empty heart empty heart A, E7, A7, D, B7, Em, G, D7, D#7
empty heart empty heart G, Cm, G#, C, Fm, Bb, Eb, G7
empty heart empty heart Am, Dm, E, G, F, C, A, B, D, F#, Bm
empty heart empty heart Em, B7, E, F#m, Db7
empty heart empty heart Bm, A7, G7, F#7, Em, B7
empty heart empty heart Gm, F, Eb, D, Cm, Bb, D7
empty heart empty heart Em, Am, D7, G, B7, E, Db7, A, B
Cette chanson évoque des souvenirs d'un amour passé, ancré dans un quartier de Lisbonne, Mouraria. Elle raconte la nostalgie d'une âme qui a été captivée par un chanteur de fado, dont le charme et l'intensité laissent une empreinte indélébile. L'artiste se remémore des instants de bonheur et de désillusion liés à cet amour, mêlant des images de la ville, avec ses traditions et ses paysages, aux émotions d'une passion perdue. Les souvenirs flottent comme des mélodies, des instants capturés à travers la musique, nourrissant un sentiment de mélancolie et d'attachement profond à ce lieu et à ces moments.